1. Utilisation de acme.sh (mémo)

    ACME.SH est l’implémentation sous la forme minimaliste d’un script Shell du protocole ACME. Il est porté par l’ISRG (Internet Security Research Group) pour l’usage de leur service Let’s Encrypt qui fournit des certificats SSL gratuits. On peut donc mettre en place un service web utilisant un certificat reconnu dans une chaine de certification gratuitement. On reste cependant sur un service minimal : le certificat est valable 3 mois (il faut prévoir le renouvellement). Il n’y a pas de reconnaissance de l’identité du porteur du certificat (ce n’est pas adapté à des infras d’entreprises, d’associations, de collectifs… bref des organismes à vocations puliques ; mais là on fait du perso, donc osef).

    En premier lieu on installe.

    Sous Gentoo, pas de useflags particulier :

    emerge acme-sh

    En premier lieu il faut s’enregistrer (de toute façon en lançant les commandes d’après on sera rappelé à cette première étape qui est explicitement donné).

    acme-sh --register-account -m monemail@maildomain.truc

    On génère les certificats correspondants au domaine du site web. Via la répétition de l’argument "-d" on peut inclure autant de sous-domaine que l’on souhaite. Ici le domaine principale, suivis du sous-domaine www.

    acme-sh --issue -d mondomaine.truc -d www.mondomaine.truc -w /var/www/localhost/htdocs

    Les certificats générés ne sont pas utilisable par les applications comme les serveurs web. Il faut donc les "convertir". Mais la commande évoque plutôt une "installation". Si on copie manuellement les certificats générés, le chemin a peu d’importance.

    acme-sh --install-cert -d mondomaine.truc --ecc --cert-file /chemin/cert.pem --key-file /chemin/key.pem --fullchain-file /chemin/fullchain.pem --ca-file /chemin/ca.pem

    Bien qu’il y ait un fichier d’authorité de certification (le ca-file) je n’en ai pas trouvé l’utilité.

    Pour un usage pour un serveur Lighttpd j’installe les fichiers dans le chemin de configuration du serveur : /etc/lighttpd/ssl.

    Ici voici la configuration pour lighttpd. Il faut créer la section correspondante dans le fichier de configuration par défaut lighttpd.conf. L’adresse IP à la première ligne correspond à l’adresse IP local du seveur. 443 est le port par défaut utilisé pour HTTPS sur Internet.

    $SERVER["socket"] == "192.168.1.4:443" {
            server.name = "mondomaine.truc"
            server.document-root = "/var/www/localhost/htdocs/"
            server.errorlog = "/var/log/lighttpd/http_error.log"
            accesslog.filename = "/var/log/lighttpd/http_access.log"
            ssl.engine = "enable"
            ssl.pemfile = "/etc/lighttpd/ssl/cert.pem"
            ssl.privkey = "/etc/lighttpd/ssl/key.pem"
            ssl.ca-file = "/etc/lighttpd/ssl/fullchain.pem"
    }

  2. "Ce que tu m'as promis" (Soft)

    L’été 2008 baignait les rues désertes du quartier d’une chaleur lourde et étouffante. Les volets de la maison de Laury, légèrement entrebâillés, laissaient filtrer quelques rayons de soleil sur le carrelage du salon. Dans l’air flottait une odeur de lavande fanée et de meubles anciens. C’était une journée comme les autres, ou presque. Pourtant, une tension électrique s’emparait de Laury depuis des jours. José, son ancien meilleur ami, était de retour, après des années passées au Portugal. Et ce jour marquait leur dernier moment ensemble avant son départ.

    Laury avait grandi dans l’ombre de son propre questionnement, se débattant avec des sentiments qu’il n’avait jamais su affronter. Le souvenir de leur amitié passée flottait dans sa mémoire, entre rires et jeux d’enfants, mais aussi des non-dits qui pesaient lourdement sur lui depuis l’adolescence. Aujourd’hui, il se tenait dans l’encadrement de la porte, sa mère lui ayant annoncé que José l’attendait dans le jardin de son ancienne maison, celle qu’il connaissait par cœur. Un dernier au revoir, un moment privé qu’il redoutait autant qu’il espérait.

    Alors qu’il traversait la rue, Laury se perdit dans ses pensées. José et lui avaient toujours été proches. Trop proches, pensaient certains. Il repensa à ce qu’il avait confié à José quelques jours plus tôt sur Facebook : il n’avait jamais embrassé quelqu’un. Jamais ressenti cette connexion intime. Et il avait laissé échapper ce secret brûlant : il doutait encore de son attirance pour les garçons, pour José. Ce dernier, d’abord réticent, avait fini par accepter. Peut-être par amitié, peut-être par curiosité.

    Quand Laury entra dans le jardin, José était là, adossé à la haie, un léger sourire flottant sur ses lèvres. Son apparence avait changé depuis leur jeunesse. Il avait grandi, perdu ce poids pour lequel il avait été moqué, et s’était transformé en un jeune homme sûr de lui. Sa silhouette élancée se découpait dans la lumière tamisée, et la chaîne en argent qu’il portait autour de son cou étincelait doucement à chaque mouvement. Son t-shirt blanc moulait discrètement ses épaules, et une montre en cuir noir ornait son poignet gauche, accentuant ses gestes.

    « Salut, Laury », dit-il doucement, sa voix posée, presque apaisante.

    Laury, nerveux, s’approcha. Leurs regards se croisèrent, et pour la première fois depuis des années, tout semblait suspendu. Plus un bruit, à part le chant lointain des cigales. José, malgré son allure détendue, observait Laury avec une certaine gravité. Ce n’était pas une simple rencontre entre anciens amis. Il savait ce que Laury attendait. Ce qu’il avait demandé.

    Ils échangèrent quelques mots anodins, parlant de la chaleur, du voyage de retour imminent. Puis, José se redressa, ses mains glissant dans les poches de son jean ajusté. Ses mouvements étaient mesurés, presque calculés. Laury sentait ses jambes faiblir, la nervosité l’envahissant à mesure que le moment approchait. Lorsqu’ils arrivèrent près du portail, la tension devenait palpable.

    C’est Laury qui fit le premier geste. Sans un mot, il attrapa la main de José, ses doigts se refermant avec hésitation autour de la peau chaude de son ami. José se figea un instant, le regard interrogatif. Laury se tourna vers lui, les yeux brillants d’une anxiété retenue. « Ce que tu m’as promis », murmura-t-il, sa voix à peine plus forte qu’un souffle. « Comme si j’étais elle. »

    José baissa légèrement la tête, hésitant, puis hocha doucement. Il savait que ce moment avait une signification particulière pour Laury. Il comprenait, même s’il n’était pas sûr de partager les mêmes émotions. Son regard s’adoucit, et avec une lenteur presque calculée, il s’approcha.

    Laury sentait son cœur battre dans sa gorge, un mélange de peur, de désir et de confusion. José posa délicatement une main sur son épaule, puis, avec une douceur inattendue, son autre main vint effleurer la joue de Laury. Sa peau était chaude sous son toucher, et Laury sentit son souffle se couper. Le pouce de José glissa brièvement le long de sa mâchoire, un geste à la fois rassurant et étrangement intime. Il se pencha doucement, son visage s’approchant lentement.

    Leurs lèvres se rencontrèrent enfin, dans un contact d’abord hésitant, presque timide. Laury ferma les yeux, laissant ses sens prendre le dessus. José était là, tout contre lui, ses mouvements lents et précautionneux. Le goût des lèvres de José était un mélange de menthe et de quelque chose de plus indéfinissable, et Laury se surprit à ressentir une vague de chaleur envahir son corps. Ce n’était pas le baiser qu’il avait imaginé dans ses rêves les plus fous, mais c’était réel, et c’était suffisant.

    José intensifia légèrement le baiser, sa main glissant dans la nuque de Laury pour approfondir le contact. Chaque mouvement était mesuré, respectueux, mais chargé d’une certaine émotion. C’était un adieu, un geste empreint de tendresse plus que de passion. Laury se laissa emporter, oubliant le monde extérieur, ses doutes, ses peurs. Tout ce qui comptait, c’était cet instant fugace.

    Lorsque José rompit finalement le baiser, ils restèrent un moment immobiles, fronts contre fronts, les yeux fermés, respirant à l’unisson. L’air était lourd, chargé de tout ce qu’ils n’avaient jamais dit.

    « Ça va ? » murmura José, sa voix douce résonnant à travers le silence.

    Laury hocha la tête, incapable de parler, une larme silencieuse roulant sur sa joue. José, avec un sourire triste, effleura brièvement la joue de Laury avant de reculer. Ils se regardèrent un instant encore, avant que José ne s’éloigne, marchant vers la sortie du jardin.

    Laury resta là, figé, le cœur encore battant à tout rompre. Le garage, silencieux autour de lui, semblait avoir absorbé toute l’intensité de ce moment. José s’éloignait, et avec lui, une partie de l’histoire de Laury.


  3. "Ce que tu m'as promis" (Face A)

    C’était le dernier jour du court séjour de José en France. Le soleil déclinait sur le jardin de la maison de sa tante, jetant de longues ombres sur l’herbe fraîchement coupée. Les fleurs d’été embaumaient l’air, ajoutant une note de douceur à cette soirée particulière. José se tenait sur le perron, ses pensées partagées entre le bonheur de revoir Laury, son meilleur ami d’enfance, et la tristesse de devoir le quitter si vite. Laury, grand et élancé, avançait vers lui, un sourire nostalgique aux lèvres.

    Ils s’étaient revus pour la première fois il y a quelques jours seulement, après des années de séparation. Leurs vies avaient pris des chemins différents, José partant vivre au Portugal tandis que Laury restait en France. Mais l’amitié d’enfance avait une manière particulière de traverser le temps et la distance, et les retrouvailles avaient été chaleureuses.

    Ce soir-là, Laury était venu lui dire un bref au revoir avant le départ de José le lendemain matin. Ils s’étaient assis dans le jardin, échangeant des souvenirs et des rires. Le temps filait, les minutes s’écoulaient trop vite. Finalement, ils se levèrent pour se diriger vers le portail.

    En passant par le garage, Laury attrapa soudainement la main de José. Ses yeux brillaient d’une intensité qu’il n’avait jamais vue auparavant. "Ce que tu m’as promis," murmura Laury, ses yeux brillant d’une lueur implorante. José se retourna, surpris par la demande. "Comme si j’étais elle," ajouta Laury, faisant allusion à la petite copine de José.

    Sans un mot, José leva doucement ses mains, ses doigts tremblant légèrement alors qu’ils effleuraient les joues de Laury. Il pouvait sentir le léger duvet de barbe sous ses doigts, la peau chaude et douce contre ses paumes. Il s’approcha, leurs souffles se mêlant, avant de sceller leurs lèvres dans un baiser lent et profond. Leurs langues se trouvèrent, explorant avec une passion retenue, chaque mouvement amplifiant la tension entre eux.

    Le baiser semblait durer une éternité, chaque seconde intensifiant leur connexion. Lorsque José se recula enfin, il pouvait voir le désir brûlant dans les yeux de Laury.

    "On pourrait aller plus loin," murmura Laury, sa voix rauque et pleine de promesses.

    José hocha lentement la tête et, sans un mot de plus, il guida Laury à travers la maison silencieuse, leurs pas résonnant doucement sur le sol. Ils atteignirent la chambre, une pièce baignée d’une lumière tamisée. José referma la porte derrière eux, créant un cocon de silence et de désir.

    José s’approcha de Laury avec une lenteur calculée, chaque pas accentuant la tension qui flottait dans l’air. Il sentit la chaleur émanant du corps de Laury, une promesse de ce qui allait suivre. Ses doigts commencèrent à parcourir les bras de Laury, explorant la texture de sa peau, douce et pourtant parsemée de petits grains de beauté qu’il découvrait un à un.

    D’un geste précis, José défit le premier bouton de la chemise de Laury, puis un autre, et encore un autre, jusqu’à ce que la chemise s’ouvre complètement, révélant le torse de Laury. Le regard de José se fixa sur cette peau dévoilée, notant les légers mouvements de la poitrine au rythme de la respiration accélérée de Laury. Il laissa glisser ses mains sur les épaules, repoussant la chemise pour qu’elle tombe au sol.

    José se rapprocha encore, ses lèvres effleurant doucement le cou de Laury. Il déposa une série de baisers légers, traçant une ligne invisible du lobe de l’oreille jusqu’à la base du cou. Sa langue suivit le même chemin, laissant une traînée humide sur la peau chaude. Il pouvait sentir Laury frémir sous ses attentions, chaque soupir amplifiant son propre désir.

    Les mains de José descendirent lentement, explorant chaque centimètre du torse de Laury. Il sentit les muscles tendus sous la peau, ses doigts traçant les contours des pectoraux, puis descendant vers les abdominaux. À chaque passage, il s’arrêtait pour savourer la texture, chaque détail, chaque imperfection, comme s’il découvrait un paysage nouveau et fascinant.

    José s’agenouilla devant Laury, ses mains maintenant sur les hanches, les pouces dessinant des cercles paresseux sur la peau sensible. Il se pencha pour embrasser le ventre de Laury, ses lèvres s’attardant sur chaque muscle, chaque courbe. Sa langue suivit bientôt, explorant avec une lenteur délibérée, goûtant le sel de la peau.

    Les doigts de Laury se glissèrent dans les cheveux de José, l’encourageant à continuer. José remonta lentement, embrassant et léchant chaque centimètre de peau sur son chemin, remontant jusqu’à la clavicule, puis le long du cou à nouveau, jusqu’à atteindre les lèvres de Laury. Ils s’embrassèrent à nouveau, ce baiser profond et langoureux, rempli de la promesse de ce qui allait suivre.

    Laury recula légèrement, le regard fixé sur José, avant de commencer à défaire les boutons de sa chemise à lui. Ses mains tremblaient légèrement, mais il persévérait, chaque bouton défait révélant une nouvelle parcelle de peau. José se laissa faire, savourant l’intensité du moment.

    Les vêtements tombèrent bientôt au sol, oubliés, et les deux hommes se retrouvèrent nus l’un contre l’autre. Leurs peaux se rencontrèrent, le contact direct déclenchant une nouvelle vague de désir. José fit glisser ses mains le long du dos de Laury, sentant chaque vertèbre sous ses doigts, avant de descendre plus bas, ses paumes pressant fermement les fesses de Laury, l’attirant encore plus près.

    Laury se pencha en avant, ses lèvres effleurant l’oreille de José, murmurant des mots doux et sensuels. Sa langue traça lentement le contour de l’oreille, envoyant une vague de désir à travers le corps de José. Les mains de Laury glissèrent le long des bras de José, traçant des chemins de chaleur et de désir.

    José sentit son souffle s’accélérer alors qu’il embrassait le cou de Laury, ses lèvres et sa langue explorant chaque centimètre de peau. Laury répondit par des soupirs de plaisir, ses mains s’agrippant aux épaules de José, leurs corps se pressant l’un contre l’autre. José descendit plus bas, embrassant la clavicule, traçant des chemins humides avec sa langue le long du torse de Laury.

    Laury bascula la tête en arrière, offrant son corps à José. Les mains de José descendirent le long de la taille de Laury, ses doigts s’enroulant autour de ses hanches fermes. Il fit glisser ses lèvres sur les pectoraux de Laury, sa langue jouant avec les tétons durcis, envoyant des ondes de plaisir à travers tout le corps de Laury.

    Leurs respirations se mêlèrent, chaque souffle devenant plus lourd, plus urgent. Laury laissa ses doigts glisser dans les cheveux de José, l’attirant encore plus près. José continua sa descente, ses lèvres et sa langue explorant le ventre de Laury, ses doigts traçant des motifs invisibles sur la peau sensible.

    Laury sentit son désir monter alors que José s’agenouillait devant lui, ses mains maintenant fermement ancrées sur les hanches de Laury. José embrassa et lécha chaque centimètre de peau, savourant le goût salé de la sueur mélangée à l’excitation. Ses doigts glissèrent lentement vers l’intérieur des cuisses de Laury, caressant la peau douce et sensible avec une tendresse exquise.

    Laury haleta, ses doigts se crispant dans les cheveux de José, alors que ce dernier explorait chaque recoin de son corps avec une précision sensuelle. José leva les yeux, ses regards remplis de désir rencontrant ceux de Laury. Ils échangèrent un sourire complice, une promesse silencieuse de ce qui allait suivre.

    José se releva lentement, ses lèvres traçant un chemin de baisers remontant le long du torse de Laury, jusqu’à ce que leurs bouches se rencontrent à nouveau dans un baiser passionné. Leurs langues se trouvèrent, dansant ensemble dans une symphonie de désir et de plaisir.

    José et Laury se trouvèrent allongés sur le lit, leurs corps entremêlés, leurs souffles saccadés se synchronisant peu à peu. José, les yeux fixés sur Laury, sentait chaque battement de son cœur résonner dans sa poitrine. Leurs mains exploraient encore avidement les corps de l’autre, traçant des chemins de désir et de passion.

    Laury, sentant la montée irrésistible de leur union, guida doucement José pour qu’il se couche sur le dos. Il se pencha alors sur lui, ses lèvres effleurant la clavicule de José, descendant lentement le long de son torse, savourant chaque soupir qu’il arrachait à son amant. Ses mains caressaient doucement les flancs de José, ses doigts dessinant des cercles paresseux sur sa peau.

    José, les yeux mi-clos, laissa ses mains parcourir le dos de Laury, suivant les lignes musclées de ses épaules, descendant vers les hanches. Il pouvait sentir chaque frémissement de Laury sous ses doigts, chaque mouvement amplifiant leur connexion.

    Laury remonta lentement, leurs corps pressés l’un contre l’autre. Il se pencha pour capturer les lèvres de José dans un baiser langoureux, leurs langues se trouvant, dansant ensemble avec une passion renouvelée. Chaque mouvement de leurs corps créait une friction exquise, chaque caresse envoyait des vagues de plaisir à travers leurs nerfs.

    Laury s’écarta légèrement, ses yeux plongés dans ceux de José, une lueur de désir intense brillant dans son regard. "Je te veux," murmura-t-il, sa voix tremblante de passion.

    José répondit par un sourire, ses mains glissant le long du dos de Laury pour le rapprocher encore plus. "Je suis à toi," répondit-il doucement, ses lèvres effleurant celles de Laury.

    Laury, allongé contre José, pouvait sentir la rigidité de leur désir partagé. Les mouvements de leurs hanches créaient une friction exquise, leurs sexes glissant l’un contre l’autre, exacerbant chaque frémissement, chaque gémissement. La chaleur de leur étreinte les enveloppait, une chaleur qui semblait émaner de leur connexion intime.

    Laury, sentant la montée irrésistible de leur union, ajusta légèrement sa position pour intensifier le contact. Leurs corps se mouvaient en parfaite harmonie, leurs sexes se rencontrant à chaque mouvement, créant une friction délicieuse qui les rapprochait de l’apogée. José, les yeux mi-clos, laissait ses mains parcourir le dos de Laury, suivant les lignes musclées de ses épaules, descendant vers les hanches, sentant chaque frémissement sous ses doigts.

    Leurs souffles devinrent plus rapides, leurs gémissements plus forts. José pouvait sentir la tension monter en lui, chaque mouvement de Laury l’amenant plus près de l’extase. Il agrippa les draps, ses doigts se crispant dans le tissu, tandis que Laury accélérait le rythme, ses mouvements devenant plus urgents, plus désespérés.

    Soudain, la vague de plaisir culmina. José cria le nom de Laury, son corps se tendant alors qu’une explosion de sensations le traversait. Leurs pénis, se frottant l’un contre l’autre, pulsèrent ensemble, l’orgasme les submergeant dans une éruption de chaleur et de plaisir. Le liquide chaud de leurs éjaculations se mêla sur leurs ventres, symbole tangible de leur union passionnée. Les corps de Laury et José frémissaient sous l’effet de cette libération partagée, chaque spasme de plaisir les rapprochant encore plus.

    Ils restèrent ainsi, enlacés, leurs corps frémissant encore des échos de leur plaisir partagé. Laury s’effondra doucement sur José, leurs sexes encore sensibles pressés l’un contre l’autre, ressentant les derniers soubresauts de leur orgasme. Leurs respirations se calmèrent peu à peu, le silence de la chambre désormais rempli de leur satisfaction et de leur tendresse mutuelle.

    La lumière du matin filtrait doucement à travers les rideaux, illuminant leurs corps encore enlacés. Leurs pénis, autrefois au centre de leur plaisir, reposaient maintenant, épuisés mais satisfaits, témoins silencieux de l’intensité de leur passion. Ils se regardèrent, un sourire complice sur les lèvres, sachant qu’ils avaient partagé quelque chose de profondément intime et inoubliable. La nuit avait été une exploration de leurs désirs les plus profonds, une découverte de l’autre dans toute sa vulnérabilité et sa beauté. Ils avaient atteint l’apogée de leur relation, un moment de pure perfection qu’ils chériraient pour toujours.


  4. Clavier français sous X11

    Sous Gentoo, les configurations sont le plus souvent à faire manuellement. Les paramètres par défaut sont à l’anglais, langue internationale, clavier QWERTY, fuseau horaire calqué sur Greenwich…

    Pour la disposition du clavier sous serveur graphique X11/Xorg, c’est le même principe. Comment faire ?

    D’abord aller au répertoire de configuration.

    # cd /etc/X11

    Par défaut j’ai constaté que le répertoire de configuration n’existait pas. On le créé.

    # mkdir xorg.conf.d

    On entre dedans.

    # cd xorg.conf.d

    Puis on créé le fichier de configuration du clavier.

    # nano 10-keyboard.conf

    Il faut ensuite complété la configuration avec le minimum d’information utile :

    Section "InputClass"
            Identifier "Keyboard"
            Driver "keyboard"
            MatchIsKeyboard "on"
            Option "XkbLayout" "fr"
    EndSection

    Sortez et enregistrez via le raccourcis ctrl+x.

    Il suffit ensuite de redémarrer et ça fonctionne !


  5. "Ce que tu m'as promis" (Face B)

    Laury se tenait immobile devant la porte, ses pensées tourbillonnant alors qu’il observait le cadre familier de la maison de José. L’ombre du départ imminent de son ami pesait lourdement sur ses épaules. José, sur le point de repartir pour le Portugal, l’avait invité une dernière fois pour lui dire au revoir. Une amitié de longue date touchait à sa fin, du moins pour un moment indéterminé.

    Laury prit une profonde inspiration et frappa doucement à la porte. Quelques secondes plus tard, José apparut, un sourire triste sur le visage. "Laury, entre. Il faut qu’on parle," dit-il en s’effaçant pour le laisser passer.

    L’atmosphère à l’intérieur était empreinte de mélancolie. Les meubles et les objets personnels semblaient retenir les souvenirs de leurs nombreuses années passées ensemble. José conduisit Laury à travers la maison jusqu’au garage, un lieu chargé de leurs aventures passées, avant de s’arrêter devant le portail. C’était là que la réalité du départ les rattrapait.

    "Je voulais te voir une dernière fois," dit José en tournant la clé dans la serrure du portail. "Pour m’assurer que tu comprenais l’importance de notre amitié, que tu savais combien tu comptais pour moi."

    Laury acquiesça, ses yeux brillants d’émotion. Il saisit la main de José et la serra fermement. "Ce que tu m’as promis…" murmura-t-il, cherchant quelque chose de plus profond que les mots.

    José tourna la tête, plongeant son regard dans celui de Laury. "Comme si j’étais elle," précisa Laury, sa voix pleine de désir et de vulnérabilité. José prit une profonde inspiration, puis leva les mains pour les poser délicatement sur le visage de Laury. Ils se rapprochèrent lentement, et leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser intense et passionné, leurs langues se cherchant et se trouvant, prolongeant ce moment au-delà du simple adieu.

    Laury sentit une chaleur l’envahir, une fusion d’émotions qu’il n’avait jamais osé exprimer. "On pourrait aller plus loin," murmura-t-il contre les lèvres de José, sentant son cœur battre à tout rompre.

    José, sans un mot, guida Laury à travers la maison jusqu’à la chambre. Une fois à l’intérieur, la porte se referma doucement derrière eux, isolant ce moment du reste du monde. Les gestes devinrent plus urgents, chaque baiser plus profond, chaque contact plus brûlant. Ils se laissèrent tomber sur le lit, leurs corps s’entremêlant dans une danse passionnée de désir et de besoin.

    Les vêtements commencèrent à tomber avec une lenteur chargée de signification. José, toujours attentionné et respectueux, posa ses mains sur les épaules de Laury, ses doigts glissant sous le col de sa chemise. Il déboutonna chaque bouton avec précaution, savourant la révélation progressive de la peau de Laury. Chaque morceau de tissu retiré semblait une barrière de plus franchie entre eux.

    La chemise glissa doucement le long des bras de Laury, tombant au sol dans un froissement léger. José laissa ses mains errer sur la poitrine nue de Laury, sentant la chaleur de sa peau, le rythme de son cœur battant sous ses doigts. Laury ferma les yeux, savourant la tendresse de chaque geste.

    Laury, à son tour, se rapprocha de José, ses mains tremblantes mais déterminées. Il saisit le bas du t-shirt de José et le souleva lentement, dévoilant le torse musclé de son ami. Le t-shirt fut abandonné sur le sol, et Laury parcourut du regard la peau bronzée de José, admirant chaque détail.

    Leurs lèvres se rencontrèrent à nouveau, leurs baisers devenant plus urgents et passionnés. Laury laissa ses mains glisser le long des flancs de José, trouvant la ceinture de son pantalon. Il la défit avec une certaine hésitation, mais José l’encouragea d’un regard tendre, l’aidant à abaisser le pantalon qui tomba lourdement à leurs pieds.

    José, désormais en sous-vêtements, se pencha vers Laury pour déboutonner son jean. Ils rirent légèrement en essayant de garder leur équilibre, mais le rire se transforma rapidement en soupirs de plaisir alors que le jean de Laury suivit le même chemin que leurs autres vêtements. Ils se retrouvèrent bientôt face à face, seulement vêtus de leurs sous-vêtements, la peau nue frémissant de désir et de nervosité.

    Laury fit glisser ses doigts sous l’élastique du boxer de José, le regardant dans les yeux pour y lire la permission. José hocha doucement la tête, et le dernier vêtement tomba au sol, dévoilant leur intimité. Laury laissa échapper un léger soupir, à la fois de désir et d’appréhension.

    José prit Laury par la main et l’attira vers le lit, l’allongeant doucement sur les draps frais. Il se pencha sur lui, déposant une traînée de baisers le long de son cou, descendant vers son torse. Chaque baiser était une promesse silencieuse, une déclaration de ce qu’ils ressentaient l’un pour l’autre.

    La chambre était plongée dans une pénombre douce, les rayons de la lune filtrant à travers les rideaux légèrement entrouverts, projetant des ombres mouvantes sur les murs. Laury et José, désormais complètement nus, se découvraient mutuellement avec une intensité croissante.

    José commença par explorer chaque centimètre de la peau de Laury avec ses lèvres et ses mains. Il embrassait chaque partie de son corps, des lèvres chaudes se déplaçant du cou de Laury jusqu’à sa poitrine, en passant par ses épaules et ses bras. Chaque baiser était une déclaration silencieuse d’affection, chaque caresse un serment de leur connexion profonde.

    Laury frissonnait sous ces attentions, ses sens en éveil. La chaleur de la bouche de José contre sa peau envoyait des ondes de plaisir à travers tout son être. José se fit plus audacieux, laissant sa langue tracer des chemins sur le torse de Laury, descendant lentement vers son ventre. Laury sentait chaque muscle de son corps se tendre et se relâcher au passage de José.

    Les mains de Laury n’étaient pas en reste. Il explorait le corps de José avec une fascination renouvelée, touchant, caressant, griffant légèrement dans des moments de passion intense. Il découvrait la douceur de sa peau, la fermeté de ses muscles, chaque mouvement suscitant des gémissements de plaisir.

    Leurs corps se pressèrent l’un contre l’autre, créant une friction délicieuse. Les hanches de José bougeaient lentement, rythmiquement, contre celles de Laury, intensifiant leur désir. Ils s’embrassèrent à nouveau, plus profondément, leurs langues se rencontrant dans une danse synchronisée, chaque baiser devenant un échange de chaleur et de passion.

    José, allongé à côté de Laury, se redressa lentement sur ses genoux. Il prit un moment pour contempler Laury, ses yeux exprimant à la fois désir et tendresse. Laury, allongé sur le dos, sentit son cœur battre plus fort alors que José se positionnait doucement entre ses jambes. Il les écarta légèrement, offrant un accès plus intime à José.

    José posa délicatement ses mains sur les cuisses de Laury, ses doigts caressant la peau douce alors qu’il se rapprochait. Il éleva légèrement les hanches de Laury, glissant un oreiller sous son bassin pour plus de confort et pour faciliter leur union. Laury sentit une vague de chaleur le traverser, à la fois d’excitation et d’anticipation.

    Avec une lenteur calculée, José se pencha en avant, ses mains continuant à caresser les cuisses de Laury. Il murmura des mots rassurants et doux, ses lèvres se posant sur le ventre de Laury dans une série de baisers légers. Laury ferma les yeux, se laissant emporter par les sensations.

    José utilisa une main pour guider son membre, se positionnant à l’entrée de Laury avec précaution. Il maintint le contact visuel avec Laury, cherchant à s’assurer de son confort et de son consentement à chaque étape. Laury acquiesça doucement, son visage exprimant à la fois nervosité et désir.

    José commença à entrer en Laury avec une délicatesse infinie, progressant lentement pour permettre à Laury de s’ajuster à la sensation. Laury prit de profondes inspirations, se concentrant sur le lien intense qu’ils partageaient. José continuait à murmurer des mots apaisants, ses mains caressant les flancs de Laury pour le détendre.

    Une fois complètement en lui, José resta immobile un moment, permettant à Laury de s’habituer à la sensation. Laury ouvrit les yeux, rencontrant le regard de José. Ils échangèrent un sourire tendre, leur connexion émotionnelle intensifiant l’intimité de l’instant.

    José commença à bouger lentement, établissant un rythme doux et régulier. Chaque mouvement était empreint de soin et de respect, cherchant à procurer le plus de plaisir possible à Laury. Les gémissements de Laury augmentèrent en intensité, son corps se synchronisant avec celui de José.

    Pendant que José se mouvait en Laury, le pénis de Laury était également pris dans l’étreinte passionnée. Laury était couché sur le dos, ses hanches légèrement relevées par l’oreiller placé sous son bassin. José, attentif aux sensations de Laury, se penchait vers lui, leur permettant de rester proches et connectés.

    Le pénis de Laury, durci par l’excitation et le plaisir, se trouvait pris entre leurs corps. À chaque mouvement de José, le membre de Laury frottait contre le ventre de José ou contre son propre ventre, créant une friction délicieuse qui augmentait son plaisir. José, conscient de l’importance de stimuler Laury, glissa une main entre leurs corps pour saisir le pénis de Laury, le caressant avec des mouvements synchronisés à ceux de ses hanches.

    Les doigts de José entouraient fermement le pénis de Laury, le massant avec des gestes doux mais fermes, ajoutant une dimension supplémentaire de plaisir. Chaque poussée de José en lui envoyait des vagues de plaisir à travers le corps de Laury, et les caresses habiles de José intensifiaient ces sensations.

    Laury plaça ses mains sur les hanches de José, l’encourageant à aller plus vite. José accéléra progressivement, ses mouvements devenant plus profonds et plus urgents. Ils se regardaient dans les yeux, chaque regard, chaque soupir renforçant leur connexion.

    Leurs corps se mouvaient en parfaite harmonie, une danse passionnée et intime. Les mouvements de José devinrent plus puissants, répondant aux gémissements de Laury et aux contractions de son corps. La chambre résonnait de leurs respirations lourdes et de leurs murmures de plaisir.

    José continua à le caresser, accélérant le rythme de ses mouvements au fur et à mesure que leur passion montait. Leurs corps se pressaient l’un contre l’autre, la chaleur et la sueur rendant chaque contact encore plus électrique. Le pénis de Laury glissait dans la main de José, ses gémissements se faisant plus intenses et plus fréquents, ses mains agrippant les draps ou les hanches de José, ses mouvements incontrôlés exprimant l’extase croissante qu’il ressentait. La double stimulation, à la fois interne et externe, le rapprochait rapidement de l’orgasme.

    L’approche du point culminant était inévitable. Laury sentit une montée irrépressible de plaisir, une tension qui se construisait dans tout son corps. José, sentant les signes de l’orgasme imminent de Laury, intensifia ses mouvements, à la fois en lui et autour de son pénis.

    Ils explosèrent ensemble dans une vague de jouissance partagée, leurs corps tremblant de plaisir. Le corps de Laury se tendit et il poussa un cri de plaisir, son pénis libérant son sperme dans un spasme puissant. José continua ses mouvements jusqu’à ce que Laury soit entièrement satisfait, puis se pencha pour l’embrasser tendrement, partageant le moment d’extase et de connexion profonde.

    Le sperme de Laury, libéré dans l’extase de son orgasme, s’étala sur son propre ventre et en partie sur celui de José. José, conscient de la sensation chaude et collante, ne cessa pas ses mouvements jusqu’à ce que Laury soit entièrement satisfait. Le sperme de José, libéré à son tour dans un moment d’extase intense, fut éjaculé en profondeur à l’intérieur de Laury. La chaleur de cette sensation ajouta une dimension supplémentaire à leur union, renforçant le sentiment de proximité et d’intimité partagée entre eux.

    José resta immobile un moment, savourant l’achèvement de leur acte et la profondeur de leur connexion. Laury ressentit la chaleur du sperme de José en lui, une sensation intime et intense qui le laissa avec un sentiment de satisfaction et de complétude.

    José se retira lentement et avec précaution, veillant à ne pas brusquer Laury. Une fois séparés, ils restèrent étroitement enlacés, José déposant des baisers légers sur le front et les joues de Laury. Ils partagèrent un moment de silence, leurs respirations s’harmonisant tandis qu’ils se remettaient de leurs émotions et sensations intenses.

    Laury et José, désormais enveloppés dans une couverture de tendresse et de réconfort, se blottirent l’un contre l’autre. José caressa doucement les cheveux de Laury, murmurant des mots apaisants et rassurants. Leurs corps encore collés par la sueur, ils fermèrent les yeux, se laissant emporter par la douceur de leur étreinte et la sérénité de l’instant, prêts à s’endormir ensemble, unis par l’amour et l’intimité qu’ils venaient de partager.

    Après cette nuit passionnée, Laury et José se réveillèrent aux premières lueurs du jour, blottis l’un contre l’autre. Le moment était empreint de sérénité, mais aussi d’une mélancolie silencieuse. José devait bientôt partir pour le Portugal, et la réalité de leur séparation imminente se faisait sentir.

    Laury ouvrit les yeux en premier, observant le visage endormi de José. Il ne put s’empêcher de sourire en voyant la tranquillité sur les traits de son ami. Cependant, le sourire s’effaça rapidement lorsqu’il se souvint de la raison de leur rencontre de la veille : l’adieu. Il se leva doucement pour ne pas réveiller José et alla à la fenêtre, contemplant l’horizon avec des pensées tourmentées.

    José finit par se réveiller, sentant l’absence de Laury à ses côtés. Il se redressa dans le lit, les draps glissant le long de son torse nu. Il aperçut Laury à la fenêtre et se leva pour le rejoindre. Il passa ses bras autour de lui, posant son menton sur son épaule.

    "À quoi penses-tu ?" demanda José doucement.

    Laury soupira. "À tout ce qu’on laisse derrière nous. Et à ce qui nous attend."

    José hocha la tête, compréhensif. "Je sais. Mais souviens-toi que cette séparation n’efface pas ce que nous avons partagé. Elle ne fait que rendre nos retrouvailles encore plus précieuses."

    Ils restèrent un moment silencieux, se réconfortant dans l’étreinte de l’autre. Finalement, José se détacha doucement et prit la main de Laury.

    "Viens, allons prendre le petit-déjeuner," dit-il avec un sourire, essayant d’alléger l’atmosphère.

    Ils descendirent à la cuisine, où ils préparèrent un repas simple mais satisfaisant. Chaque geste, chaque mot échangé semblait chargé d’un sens plus profond, comme si chaque moment passé ensemble comptait double en raison de leur séparation imminente.

    Après le petit-déjeuner, José commença à préparer ses affaires pour le voyage. Laury l’aida, essayant de profiter de chaque minute restante. Ils parlèrent de leurs souvenirs, de leurs rêves et de leurs espoirs pour l’avenir. La conversation oscillait entre rires et moments de silence contemplatif.

    Le moment de partir arriva finalement. José et Laury se retrouvèrent à nouveau devant le portail, là où leur adieu avait commencé. José posa sa valise à ses pieds et prit Laury dans ses bras une dernière fois.

    "Promets-moi que tu prendras soin de toi," murmura José.

    Laury acquiesça, les larmes aux yeux. "Et toi, promets-moi que tu reviendras."

    "Je te le promets," répondit José, ses yeux brillants d’émotion.

    Ils s’embrassèrent une dernière fois, un baiser empreint de tendresse et de promesses non dites. Puis, José se tourna et partit, jetant un dernier regard en arrière avant de disparaître de vue.

    Laury resta là un moment, regardant la route vide. Il sentait un mélange de tristesse et de paix. Il savait que, malgré la distance et le temps, ce qu’ils avaient partagé resterait toujours vivant en eux.

    Laury rentra chez lui, portant en lui les souvenirs de cette nuit et la promesse de retrouvailles futures. Il était prêt à affronter le monde, fortifié par l’amour qu’ils avaient partagé et l’espoir d’un avenir où ils seraient à nouveau réunis.


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