"Ce que tu m'as promis" (Face A)

sam. 24 août 2024

C’était le dernier jour du court séjour de José en France. Le soleil déclinait sur le jardin de la maison de sa tante, jetant de longues ombres sur l’herbe fraîchement coupée. Les fleurs d’été embaumaient l’air, ajoutant une note de douceur à cette soirée particulière. José se tenait sur le perron, ses pensées partagées entre le bonheur de revoir Laury, son meilleur ami d’enfance, et la tristesse de devoir le quitter si vite. Laury, grand et élancé, avançait vers lui, un sourire nostalgique aux lèvres.

Ils s’étaient revus pour la première fois il y a quelques jours seulement, après des années de séparation. Leurs vies avaient pris des chemins différents, José partant vivre au Portugal tandis que Laury restait en France. Mais l’amitié d’enfance avait une manière particulière de traverser le temps et la distance, et les retrouvailles avaient été chaleureuses.

Ce soir-là, Laury était venu lui dire un bref au revoir avant le départ de José le lendemain matin. Ils s’étaient assis dans le jardin, échangeant des souvenirs et des rires. Le temps filait, les minutes s’écoulaient trop vite. Finalement, ils se levèrent pour se diriger vers le portail.

En passant par le garage, Laury attrapa soudainement la main de José. Ses yeux brillaient d’une intensité qu’il n’avait jamais vue auparavant. "Ce que tu m’as promis," murmura Laury, ses yeux brillant d’une lueur implorante. José se retourna, surpris par la demande. "Comme si j’étais elle," ajouta Laury, faisant allusion à la petite copine de José.

Sans un mot, José leva doucement ses mains, ses doigts tremblant légèrement alors qu’ils effleuraient les joues de Laury. Il pouvait sentir le léger duvet de barbe sous ses doigts, la peau chaude et douce contre ses paumes. Il s’approcha, leurs souffles se mêlant, avant de sceller leurs lèvres dans un baiser lent et profond. Leurs langues se trouvèrent, explorant avec une passion retenue, chaque mouvement amplifiant la tension entre eux.

Le baiser semblait durer une éternité, chaque seconde intensifiant leur connexion. Lorsque José se recula enfin, il pouvait voir le désir brûlant dans les yeux de Laury.

"On pourrait aller plus loin," murmura Laury, sa voix rauque et pleine de promesses.

José hocha lentement la tête et, sans un mot de plus, il guida Laury à travers la maison silencieuse, leurs pas résonnant doucement sur le sol. Ils atteignirent la chambre, une pièce baignée d’une lumière tamisée. José referma la porte derrière eux, créant un cocon de silence et de désir.

José s’approcha de Laury avec une lenteur calculée, chaque pas accentuant la tension qui flottait dans l’air. Il sentit la chaleur émanant du corps de Laury, une promesse de ce qui allait suivre. Ses doigts commencèrent à parcourir les bras de Laury, explorant la texture de sa peau, douce et pourtant parsemée de petits grains de beauté qu’il découvrait un à un.

D’un geste précis, José défit le premier bouton de la chemise de Laury, puis un autre, et encore un autre, jusqu’à ce que la chemise s’ouvre complètement, révélant le torse de Laury. Le regard de José se fixa sur cette peau dévoilée, notant les légers mouvements de la poitrine au rythme de la respiration accélérée de Laury. Il laissa glisser ses mains sur les épaules, repoussant la chemise pour qu’elle tombe au sol.

José se rapprocha encore, ses lèvres effleurant doucement le cou de Laury. Il déposa une série de baisers légers, traçant une ligne invisible du lobe de l’oreille jusqu’à la base du cou. Sa langue suivit le même chemin, laissant une traînée humide sur la peau chaude. Il pouvait sentir Laury frémir sous ses attentions, chaque soupir amplifiant son propre désir.

Les mains de José descendirent lentement, explorant chaque centimètre du torse de Laury. Il sentit les muscles tendus sous la peau, ses doigts traçant les contours des pectoraux, puis descendant vers les abdominaux. À chaque passage, il s’arrêtait pour savourer la texture, chaque détail, chaque imperfection, comme s’il découvrait un paysage nouveau et fascinant.

José s’agenouilla devant Laury, ses mains maintenant sur les hanches, les pouces dessinant des cercles paresseux sur la peau sensible. Il se pencha pour embrasser le ventre de Laury, ses lèvres s’attardant sur chaque muscle, chaque courbe. Sa langue suivit bientôt, explorant avec une lenteur délibérée, goûtant le sel de la peau.

Les doigts de Laury se glissèrent dans les cheveux de José, l’encourageant à continuer. José remonta lentement, embrassant et léchant chaque centimètre de peau sur son chemin, remontant jusqu’à la clavicule, puis le long du cou à nouveau, jusqu’à atteindre les lèvres de Laury. Ils s’embrassèrent à nouveau, ce baiser profond et langoureux, rempli de la promesse de ce qui allait suivre.

Laury recula légèrement, le regard fixé sur José, avant de commencer à défaire les boutons de sa chemise à lui. Ses mains tremblaient légèrement, mais il persévérait, chaque bouton défait révélant une nouvelle parcelle de peau. José se laissa faire, savourant l’intensité du moment.

Les vêtements tombèrent bientôt au sol, oubliés, et les deux hommes se retrouvèrent nus l’un contre l’autre. Leurs peaux se rencontrèrent, le contact direct déclenchant une nouvelle vague de désir. José fit glisser ses mains le long du dos de Laury, sentant chaque vertèbre sous ses doigts, avant de descendre plus bas, ses paumes pressant fermement les fesses de Laury, l’attirant encore plus près.

Laury se pencha en avant, ses lèvres effleurant l’oreille de José, murmurant des mots doux et sensuels. Sa langue traça lentement le contour de l’oreille, envoyant une vague de désir à travers le corps de José. Les mains de Laury glissèrent le long des bras de José, traçant des chemins de chaleur et de désir.

José sentit son souffle s’accélérer alors qu’il embrassait le cou de Laury, ses lèvres et sa langue explorant chaque centimètre de peau. Laury répondit par des soupirs de plaisir, ses mains s’agrippant aux épaules de José, leurs corps se pressant l’un contre l’autre. José descendit plus bas, embrassant la clavicule, traçant des chemins humides avec sa langue le long du torse de Laury.

Laury bascula la tête en arrière, offrant son corps à José. Les mains de José descendirent le long de la taille de Laury, ses doigts s’enroulant autour de ses hanches fermes. Il fit glisser ses lèvres sur les pectoraux de Laury, sa langue jouant avec les tétons durcis, envoyant des ondes de plaisir à travers tout le corps de Laury.

Leurs respirations se mêlèrent, chaque souffle devenant plus lourd, plus urgent. Laury laissa ses doigts glisser dans les cheveux de José, l’attirant encore plus près. José continua sa descente, ses lèvres et sa langue explorant le ventre de Laury, ses doigts traçant des motifs invisibles sur la peau sensible.

Laury sentit son désir monter alors que José s’agenouillait devant lui, ses mains maintenant fermement ancrées sur les hanches de Laury. José embrassa et lécha chaque centimètre de peau, savourant le goût salé de la sueur mélangée à l’excitation. Ses doigts glissèrent lentement vers l’intérieur des cuisses de Laury, caressant la peau douce et sensible avec une tendresse exquise.

Laury haleta, ses doigts se crispant dans les cheveux de José, alors que ce dernier explorait chaque recoin de son corps avec une précision sensuelle. José leva les yeux, ses regards remplis de désir rencontrant ceux de Laury. Ils échangèrent un sourire complice, une promesse silencieuse de ce qui allait suivre.

José se releva lentement, ses lèvres traçant un chemin de baisers remontant le long du torse de Laury, jusqu’à ce que leurs bouches se rencontrent à nouveau dans un baiser passionné. Leurs langues se trouvèrent, dansant ensemble dans une symphonie de désir et de plaisir.

José et Laury se trouvèrent allongés sur le lit, leurs corps entremêlés, leurs souffles saccadés se synchronisant peu à peu. José, les yeux fixés sur Laury, sentait chaque battement de son cœur résonner dans sa poitrine. Leurs mains exploraient encore avidement les corps de l’autre, traçant des chemins de désir et de passion.

Laury, sentant la montée irrésistible de leur union, guida doucement José pour qu’il se couche sur le dos. Il se pencha alors sur lui, ses lèvres effleurant la clavicule de José, descendant lentement le long de son torse, savourant chaque soupir qu’il arrachait à son amant. Ses mains caressaient doucement les flancs de José, ses doigts dessinant des cercles paresseux sur sa peau.

José, les yeux mi-clos, laissa ses mains parcourir le dos de Laury, suivant les lignes musclées de ses épaules, descendant vers les hanches. Il pouvait sentir chaque frémissement de Laury sous ses doigts, chaque mouvement amplifiant leur connexion.

Laury remonta lentement, leurs corps pressés l’un contre l’autre. Il se pencha pour capturer les lèvres de José dans un baiser langoureux, leurs langues se trouvant, dansant ensemble avec une passion renouvelée. Chaque mouvement de leurs corps créait une friction exquise, chaque caresse envoyait des vagues de plaisir à travers leurs nerfs.

Laury s’écarta légèrement, ses yeux plongés dans ceux de José, une lueur de désir intense brillant dans son regard. "Je te veux," murmura-t-il, sa voix tremblante de passion.

José répondit par un sourire, ses mains glissant le long du dos de Laury pour le rapprocher encore plus. "Je suis à toi," répondit-il doucement, ses lèvres effleurant celles de Laury.

Laury, allongé contre José, pouvait sentir la rigidité de leur désir partagé. Les mouvements de leurs hanches créaient une friction exquise, leurs sexes glissant l’un contre l’autre, exacerbant chaque frémissement, chaque gémissement. La chaleur de leur étreinte les enveloppait, une chaleur qui semblait émaner de leur connexion intime.

Laury, sentant la montée irrésistible de leur union, ajusta légèrement sa position pour intensifier le contact. Leurs corps se mouvaient en parfaite harmonie, leurs sexes se rencontrant à chaque mouvement, créant une friction délicieuse qui les rapprochait de l’apogée. José, les yeux mi-clos, laissait ses mains parcourir le dos de Laury, suivant les lignes musclées de ses épaules, descendant vers les hanches, sentant chaque frémissement sous ses doigts.

Leurs souffles devinrent plus rapides, leurs gémissements plus forts. José pouvait sentir la tension monter en lui, chaque mouvement de Laury l’amenant plus près de l’extase. Il agrippa les draps, ses doigts se crispant dans le tissu, tandis que Laury accélérait le rythme, ses mouvements devenant plus urgents, plus désespérés.

Soudain, la vague de plaisir culmina. José cria le nom de Laury, son corps se tendant alors qu’une explosion de sensations le traversait. Leurs pénis, se frottant l’un contre l’autre, pulsèrent ensemble, l’orgasme les submergeant dans une éruption de chaleur et de plaisir. Le liquide chaud de leurs éjaculations se mêla sur leurs ventres, symbole tangible de leur union passionnée. Les corps de Laury et José frémissaient sous l’effet de cette libération partagée, chaque spasme de plaisir les rapprochant encore plus.

Ils restèrent ainsi, enlacés, leurs corps frémissant encore des échos de leur plaisir partagé. Laury s’effondra doucement sur José, leurs sexes encore sensibles pressés l’un contre l’autre, ressentant les derniers soubresauts de leur orgasme. Leurs respirations se calmèrent peu à peu, le silence de la chambre désormais rempli de leur satisfaction et de leur tendresse mutuelle.

La lumière du matin filtrait doucement à travers les rideaux, illuminant leurs corps encore enlacés. Leurs pénis, autrefois au centre de leur plaisir, reposaient maintenant, épuisés mais satisfaits, témoins silencieux de l’intensité de leur passion. Ils se regardèrent, un sourire complice sur les lèvres, sachant qu’ils avaient partagé quelque chose de profondément intime et inoubliable. La nuit avait été une exploration de leurs désirs les plus profonds, une découverte de l’autre dans toute sa vulnérabilité et sa beauté. Ils avaient atteint l’apogée de leur relation, un moment de pure perfection qu’ils chériraient pour toujours.