Il n'était pas là quand Omar Ben Laden fut poursuivit pour apologie de terrorisme. Il était absent quand l'OQTF fut éditée. Aucun policier ne vint chercher Omar Ben Laden pour l'expulser ; le fils d'Oussama Ben Laden était déjà parti. La procédure suivait son cours tandis que sa place au gouvernement n'était que songe lointain. Et quand le jugement fut définitivement validé, contrairement au ministre de la justice qui ne fit aucun commentaire, Bruno Retailleau, fraichement nommé Place Beauvau, s'empressa communiquer la nouvelle à son crédit. Bilan d'opportunité de poudre aux yeux lancé aux électeurs/trices.