"Ce que tu m'as promis" (Face C)

sam. 06 juillet 2024

José et Laury sortaient du bar, la nuit tombait et une légère brise agitait les feuilles des arbres. José, plus grand et costaud, marchait à côté de Laury, qui semblait nerveux mais déterminé. Ils marchèrent en silence jusqu’à ce qu’ils arrivent devant le garage de José, une structure basse en briques rouges.

José ouvrit la porte du garage, faisant un signe de tête à Laury pour le suivre à l’intérieur. Le garage était encombré de boîtes et d’outils, mais une lumière douce illuminait l’espace, projetant des ombres longues et mystérieuses.

Laury s’arrêta, regarda autour de lui, puis tendit la main et saisit celle de José. "Ce que tu m’as promis," dit-il d’une voix basse mais ferme, ses yeux cherchant ceux de José.

José se tourna vers lui, ses sourcils se fronçant légèrement d’incompréhension. "Comme si j’étais elle," précisa Laury, ses mots tremblant légèrement, mais son regard insistant.

José hésita un instant, puis leva lentement ses mains vers le visage de Laury. Ses doigts, d’abord hésitants, trouvèrent leur place sur les joues de Laury, ses pouces caressant doucement la peau tendre. Laury ferma les yeux, se concentrant sur la sensation des mains de José.

José se pencha alors, leurs respirations se mêlant, et leurs lèvres se touchèrent enfin. Le baiser, d’abord doux et exploratoire, devint rapidement plus intense. La langue de José rencontra celle de Laury, et ils s’embrassèrent longuement, perdus dans le moment.

Laury rompit le baiser, son souffle court. "On pourrait aller plus loin," suggéra-t-il, sa voix à peine un murmure mais pleine de désir.

José hocha la tête, ses yeux sombres et sérieux. Il prit la main de Laury et le guida hors du garage, à travers le jardin sombre et jusqu’à la maison. Ils entrèrent silencieusement, montant l’escalier en bois qui grinçait sous leurs pas.

José ouvrit la porte de sa chambre, une pièce simple avec un grand lit et des rideaux épais qui bloquaient la lumière extérieure. Il fit un pas en arrière pour laisser Laury entrer, puis referma doucement la porte derrière eux.

Laury et José se tenaient dans la chambre, l’atmosphère emplie d’une tension électrique. José posa une main rassurante sur l’épaule de Laury, cherchant à apaiser l’anxiété qu’il sentait en lui. "Tu es sûr ?" demanda José, sa voix douce mais ferme.

Laury hocha la tête sans hésiter. "Je le veux," répondit-il, ses yeux brillants de détermination et de désir.

José commença à déboutonner lentement la chemise de Laury, chaque bouton dévoilant un peu plus de peau. Laury, sentant les doigts de José contre sa poitrine, ferma les yeux et prit une profonde inspiration. "C’est ce que j’ai toujours voulu," pensa-t-il.

Quand la chemise de Laury tomba au sol, José passa ses mains sur le torse de Laury, ses doigts explorant chaque courbe et chaque muscle. Laury frissonna sous ce toucher, son souffle devenant plus rapide. Il leva les mains et commença à défaire la ceinture de José, ses mouvements un peu maladroits mais déterminés.

Ils se déshabillèrent lentement, prenant le temps de savourer chaque moment, chaque geste. Une fois nus, ils s’allongèrent sur le lit, leurs corps pressés l’un contre l’autre. José murmura des mots doux à l’oreille de Laury, ses mains parcourant son corps avec tendresse et assurance. "Je te veux autant que tu me veux," pensait José.

Laury se laissa aller sous les caresses de José, ses propres mains explorant le corps musclé de son partenaire. "Je veux sentir chaque partie de lui," se disait-il, ses doigts traçant des lignes imaginaires sur la peau de José.

Leurs baisers devinrent plus intenses, leurs corps s’enroulant l’un autour de l’autre dans une danse intime. Laury se laissa guider par José, suivant ses mouvements, ses rythmes. "C’est comme si le temps s’était arrêté," pensa Laury, chaque seconde étirée en une éternité de plaisir et de connexion.

Après que Laury lui murmura qu’il était prêt, José prit une profonde inspiration et hocha doucement la tête, un sourire rassurant sur son visage. Il effleura la joue de Laury du bout des doigts, ses yeux cherchant à capter chaque nuance dans le regard de Laury. "Je vais prendre soin de toi," pensa José, déterminé à faire de ce moment quelque chose de spécial pour eux deux.

José se leva légèrement du lit, tendant la main vers la table de chevet. Il ouvrit le tiroir et en sortit un petit flacon d’huile parfumée. Il versa quelques gouttes dans sa paume et les frotta ensemble pour réchauffer le liquide. Le parfum subtil de lavande se répandit dans la pièce, ajoutant une touche de calme et de sérénité à l’atmosphère déjà intime.

José s’agenouilla près de Laury, ses mains désormais luisantes et chaudes. Il commença par masser doucement les épaules de Laury, ses mouvements lents et précis. "Je veux qu’il se sente à l’aise," se disait José, concentré sur chaque réaction de Laury. Laury ferma les yeux, se laissant aller aux sensations, ses muscles se détendant sous les mains expertes de José.

Les mains de José glissèrent le long du dos de Laury, descendant lentement vers les hanches. Il prit soin de ne pas brusquer les choses, ses gestes empreints de douceur et d’attention. "Tout va bien," murmura-t-il, sa voix grave et rassurante. Laury hocha la tête en signe de confiance, un léger sourire aux lèvres.

José se pencha et embrassa tendrement la nuque de Laury, ses lèvres chaudes et douces contre la peau fraîche. Il sentit Laury frissonner sous ce baiser, un soupir échappant de ses lèvres. "Je veux que chaque instant soit mémorable pour lui," pensa José, ses gestes guidés par cette intention.

Il continua à descendre, ses mains glissant sur les cuisses de Laury, les caressant et les massant avec une précision délicate. Laury s’ouvrait à lui, ses jambes s’écartant légèrement en signe de consentement. José reprit l’huile et ajouta quelques gouttes supplémentaires, veillant à ce que chaque partie de Laury soit couverte et prête.

José prit alors une respiration profonde et se positionna derrière Laury, s’assurant que chaque mouvement soit mesuré et doux. Il guida doucement Laury pour qu’il s’installe confortablement, ajustant leurs positions pour maximiser le confort et l’intimité. "Tu es prêt ?" murmura-t-il à nouveau, une dernière fois, sa voix remplie de soin.

Laury répondit par un murmure affirmatif, ses mains serrant légèrement les draps. José commença alors à entrer en lui, lentement et avec précaution, surveillant chaque réaction de Laury. "Je veux qu’il se sente aimé et respecté," pensa-t-il, ses mouvements lents et rythmés.

Quand José était entré en lui, Laury ressentit une vague complexe de sensations qui le traversa. Tout d’abord, il y eut une légère tension, une réaction naturelle à l’intrusion, mais José était doux et patient, s’arrêtant à chaque signe de moindre inconfort. "Il est si attentionné," pensa Laury, son cœur battant plus vite.

Laury laissa échapper un gémissement de plaisir mêlé de surprise, son corps s’adaptant graduellement à la nouvelle sensation. La tension initiale se dissipa rapidement, remplacée par une sensation de chaleur et de proximité profonde. Laury sentit chaque mouvement de José, chaque ajustement délicat. José s’arrêta à plusieurs reprises, lui laissant le temps de s’habituer, de se relaxer encore davantage. "Je suis là," murmura José, ses mains caressant les côtés de Laury, cherchant à le rassurer. Une sensation de plénitude envahit son corps, mêlée à une sorte d’euphorie douce. "C’est tellement intime, tellement réel," se dit Laury, fermant les yeux pour mieux s’abandonner à l’instant.

Chaque poussée de José, lente et mesurée, éveillait en Laury une vague de plaisir inattendu. "Je ne savais pas que ça pouvait être comme ça," pensa-t-il, son souffle s’accélérant légèrement. La douleur initiale, à peine perceptible, s’était transformée en une sensation de connexion profonde et de bien-être.

Laury sentait les mains de José sur ses hanches, fermes mais rassurantes, guidant et soutenant chaque mouvement. "Il sait exactement ce qu’il fait," réalisa Laury, admiratif de la maîtrise et de la tendresse de José. Cette pensée le rassura encore davantage, lui permettant de se détendre pleinement.

Quand ils trouvèrent un rythme commun, leurs corps se mouvant à l’unisson, José sentit une vague de connexion profonde les envahir. Chaque mouvement, chaque respiration, chaque battement de cœur semblait parfaitement synchronisé. José se pencha en avant, embrassant de nouveau l’épaule de Laury, ses lèvres formant des mots silencieux de réassurance et de passion.

La proximité de leurs corps, le rythme lent et régulier, créaient une symphonie de sensations et d’émotions. Laury sentait chaque frisson, chaque souffle partagé, chaque battement de cœur résonner en lui. "Nous ne faisons qu’un en ce moment," pensa-t-il, touché par l’intensité de leur union.

Laury ouvrit les yeux un instant, regardant José, cherchant son regard. Il vit dans les yeux de José une profondeur de sentiments qui le bouleversa. "Il m’aime vraiment," pensa Laury, un sourire se formant sur ses lèvres malgré l’intensité de l’instant.

Le temps sembla suspendu alors qu’ils s’unissaient dans cette danse intime, leurs corps et leurs âmes trouvant un équilibre parfait. José sentit une vague de chaleur et d’émotion déferler en lui, sachant que ce moment resterait gravé dans leurs mémoires. "Je veux que tu te souviennes de cette nuit comme d’un moment de pur bonheur," pensa-t-il, déterminé à offrir à Laury une expérience inoubliable.

La montée du plaisir devint de plus en plus intense, chaque mouvement de José amplifiant la sensation de plaisir qui irradiait de son corps. "Je veux que cela dure éternellement," pensa Laury, ses mains serrant les draps sous lui, cherchant à ancrer cette sensation dans sa mémoire.

Quand ils atteignirent ensemble l’apogée de leur union, une vague de satisfaction et de bonheur inonda Laury. Il se sentait comblé, à la fois physiquement et émotionnellement. "Je n’ai jamais ressenti quelque chose d’aussi puissant," se dit-il, son corps tremblant légèrement sous l’effet de l’extase partagée. José se pencha pour capturer les lèvres de Laury dans un baiser profond et passionné, scellant ainsi ce moment de pure intimité.

Ils restèrent ainsi, enlacés, leurs respirations se calmant progressivement. Laury, sentant le corps de José contre le sien, éprouva une profonde gratitude et un sentiment d’accomplissement. "Merci, José," murmura-t-il, se blottissant contre lui, trouvant un apaisement total dans cette union parfaite.

Après un moment de calme, allongés l’un contre l’autre, Laury tourna doucement la tête vers José, ses yeux brillant d’une nouvelle détermination. "José," murmura-t-il, "j’aimerais te rendre ce que tu m’as donné."

José sourit, touché par la proposition. "Tu n’es pas obligé, Laury," répondit-il, sa voix douce et rassurante.

Laury secoua la tête, un sourire timide aux lèvres. "Je veux le faire," dit-il avec conviction. "Pour toi."

José hocha la tête, acceptant l’offre de Laury. Il se redressa lentement, laissant Laury prendre l’initiative. Laury se leva légèrement et prit le flacon d’huile sur la table de chevet, imitant les gestes qu’il avait observés chez José. Il versa quelques gouttes dans sa paume et les frotta ensemble pour les réchauffer, puis s’agenouilla à côté de José.

Laury commença par masser les épaules de José, ses doigts glissant doucement sur la peau tendue. José ferma les yeux, se laissant aller sous le toucher de Laury. "C’est incroyable comme ses mains sont douces," pensa José, appréciant chaque caresse.

Laury continua de masser José, descendant lentement le long de son dos, ses mouvements hésitants au début, mais gagnant en confiance à mesure qu’il ressentait la réponse positive de José. "Je veux qu’il se sente aussi bien que je me suis senti," pensa Laury, concentré sur chaque geste.

Lorsqu’il arriva aux hanches de José, Laury s’arrêta un instant, prenant une profonde inspiration. Il passa ses mains sur les cuisses de José, les caressant et les massant avec une délicatesse et une attention particulière. José frissonna sous ce toucher, un soupir de contentement échappant de ses lèvres.

Laury se positionna derrière José, se rappelant de la douceur et de la précaution que José avait montrées. "Je vais prendre soin de lui comme il a pris soin de moi," pensa Laury, déterminé à rendre ce moment spécial pour José.

Il guida doucement José pour qu’il s’installe confortablement, ajustant leurs positions. "Es-tu prêt ?" murmura Laury, sa voix remplie de soin et de respect.

José hocha la tête, un sourire rassurant sur les lèvres. "Oui, Laury, je suis prêt," répondit-il, sa voix calme et confiante.

Laury commença alors à entrer en lui, lentement et avec précaution, surveillant chaque réaction de José. "Je veux qu’il se sente aimé et respecté," pensa-t-il, ses mouvements lents et rythmés. José laissa échapper un gémissement de plaisir, son corps s’adaptant graduellement à la nouvelle sensation.

Laury s’arrêta à plusieurs reprises, lui laissant le temps de s’habituer, de se relaxer encore davantage. "Je suis là," murmura-t-il, ses mains caressant les côtés de José, cherchant à le rassurer.

Quand ils trouvèrent un rythme commun, leurs corps se mouvant à l’unisson, Laury sentit une vague de connexion profonde les envahir. Chaque mouvement, chaque respiration, chaque battement de cœur semblait parfaitement synchronisé. Laury se pencha en avant, embrassant de nouveau l’épaule de José, ses lèvres formant des mots silencieux de réassurance et de passion.

Le temps sembla suspendu alors qu’ils s’unissaient dans cette danse intime, leurs corps et leurs âmes trouvant un équilibre parfait. Laury sentit une vague de chaleur et d’émotion déferler en lui, sachant que ce moment resterait gravé dans leurs mémoires. "Je veux que tu te souviennes de cette nuit comme d’un moment de pur bonheur," pensa-t-il, déterminé à offrir à José une expérience inoubliable.

Quand ils atteignirent ensemble l’apogée de leur union, Laury se pencha pour capturer les lèvres de José dans un baiser profond et passionné, scellant ainsi ce moment de pure intimité. Ils restèrent ainsi un long moment, leurs respirations se calmant, leurs cœurs battant à l’unisson, liés par cette expérience partagée.

Après, ils restèrent allongés côte à côte, leurs corps encore enlacés, leur respiration redevenant calme. José passa une main sur les cheveux de Laury, caressant doucement. "Tu es incroyable," murmura-t-il.

Laury sourit, ses yeux lourds de fatigue mais brillants de bonheur. "Merci," répondit-il simplement, sentant un profond sentiment de satisfaction et de paix. "C’était plus que ce que j’avais imaginé," pensa-t-il, se blottissant contre José.

Ils s’endormirent ainsi, leurs corps encore proches, le silence de la nuit les enveloppant. Pour Laury, cette nuit marquait un tournant, un moment où il s’était senti pleinement lui-même, pleinement accepté et aimé.

Le jour du départ de José, le soleil se levait à peine, peignant le ciel de nuances de rose et d’orange. José et Laury se tenaient dans l’entrée de la maison de Laury, la valise de José à leurs pieds. L’atmosphère était empreinte de mélancolie, chaque moment semblant étiré par la conscience de la séparation imminente.

José prit une profonde inspiration, son regard fixé sur Laury. "Je ne pensais pas que ce moment arriverait si vite," dit-il doucement, sa voix vibrante d’émotion.

Laury baissa les yeux, puis les releva pour croiser ceux de José. "Moi non plus," répondit-il, une boule se formant dans sa gorge. "Ces derniers jours ont été incroyables. Je ne sais pas comment te remercier."

José posa une main rassurante sur l’épaule de Laury. "Tu n’as pas à me remercier. C’était aussi spécial pour moi," dit-il. Il prit une seconde pour mémoriser le visage de Laury, ses traits doux et les émotions palpables dans ses yeux.

Laury prit une profonde inspiration, essayant de maîtriser ses émotions. "Je vais te manquer," murmura-t-il, sa voix à peine audible.

José hocha la tête, son regard sérieux. "Et tu vas me manquer, Laury. Mais nous devons être forts. Nous avons vécu quelque chose de beau, et cela restera toujours avec nous."

Ils se regardèrent en silence pendant un moment, puis José fit un pas en avant et prit Laury dans ses bras. L’étreinte était ferme, réconfortante, chacun cherchant à imprimer la sensation de l’autre dans sa mémoire. "Je n’oublierai jamais," pensa José en sentant le cœur de Laury battre contre le sien.

Laury serra José encore plus fort, respirant profondément pour s’imprégner de son odeur, de sa chaleur. "Je veux que ce moment dure pour toujours," pensa-t-il, une larme silencieuse roulant sur sa joue.

José recula légèrement, gardant ses mains sur les épaules de Laury. "Nous nous reverrons un jour," dit-il avec conviction. "Je ne sais pas quand, mais je le crois. Garde espoir, Laury."

Laury hocha la tête, essuyant discrètement ses larmes. "Je garderai espoir," répondit-il, sa voix tremblante mais déterminée.

José attrapa sa valise, la tirant derrière lui. "Prends soin de toi," dit-il, se dirigeant vers la porte.

"Toi aussi," répondit Laury, regardant José s’éloigner. Juste avant que José ne sorte, Laury ajouta, "Je t’attendrai."

José se retourna une dernière fois, un sourire triste mais sincère aux lèvres. "Et moi, je reviendrai," dit-il avant de franchir la porte et de disparaître dans la lumière du matin.

Laury resta là, immobile, sentant le vide laissé par le départ de José. Il prit une profonde inspiration, puis ferma lentement la porte. "Je l’attendrai, aussi longtemps qu’il le faudra," pensa-t-il, déterminé à garder vivante la flamme de leur connexion.

Laury resta un moment immobile après avoir fermé la porte, ses pensées encore empreintes de l’image de José. La maison était silencieuse, chaque pièce lui rappelant les moments partagés. Le vide laissé par José semblait peser lourdement sur ses épaules. Tentant de se changer les idées, Laury se dirigea vers sa chambre, où il s’allongea sur le lit.

Allongé, il ferma les yeux, laissant ses pensées dériver vers José. Les souvenirs de leurs moments intimes revenaient avec une clarté saisissante. Le toucher de José, ses baisers, la chaleur de son corps contre le sien. Chaque détail semblait gravé dans sa mémoire.

Laury sentit une montée de désir en lui. Ses mains glissèrent lentement sous la ceinture de son pantalon, cherchant à recréer les sensations qu’il avait ressenties avec José. "Je veux le sentir encore," pensa-t-il, ses doigts commençant à explorer son propre corps.

Il prit son temps, caressant doucement son membre, se souvenant de la manière dont José le touchait. "C’était si intense," se dit-il, accélérant légèrement le mouvement de sa main. Les souvenirs de José pénétrant en lui, de leur connexion physique et émotionnelle, ne faisaient qu’intensifier son désir.

Laury imagina José à ses côtés, le regardant avec ces yeux pleins de désir et d’amour. "José…" murmura-t-il, se laissant aller complètement à ses fantasmes. Il se rappela les moments où José avait pris le contrôle, guidant chaque mouvement avec une douceur assurée.

Les sensations devinrent plus intenses, chaque caresse envoyant des vagues de plaisir à travers son corps. Laury pouvait presque sentir le souffle de José contre sa peau, entendre ses murmures rassurants. "Je suis là avec toi," se disait-il, se rapprochant de plus en plus de l’extase.

Laury accéléra encore, ses mouvements devenant plus urgents, plus désespérés. Les images de José étaient si vives dans son esprit que c’était presque comme s’il était là. "Je veux le sentir en moi," pensa-t-il, chaque pensée le rapprochant de l’orgasme.

Enfin, le plaisir culmina, une vague puissante et irrésistible de sensations déferlant sur lui. Laury gémit, son corps se tendant et se libérant en même temps. Le plaisir fut intense, chaque pulsation apportant une nouvelle vague de satisfaction. "José…" murmura-t-il une dernière fois, son souffle saccadé.

Il resta allongé, récupérant lentement, les images de José encore fraîches dans son esprit. Un sentiment de mélancolie et de satisfaction mêlée l’envahit. "Je l’attendrai," pensa-t-il, le cœur empli de la détermination de garder vivante la flamme de leur amour, même à distance.